Página principal  |  Contacto  

Correo electrónico:

Contraseña:

Registrarse ahora!

¿Has olvidado tu contraseña?

LA CUBA DEL GRAN PAPIYO
 
Novedades
  Únete ahora
  Panel de mensajes 
  Galería de imágenes 
 Archivos y documentos 
 Encuestas y Test 
  Lista de Participantes
 Conociendo Cuba 
 CANCION L..A 
 FIDEL CASTRO.. 
 Fotos de FIDEL 
 Los participantes más activos 
 PROCLAMA AL PUEBLO DE CUBA 
 
 
  Herramientas
 
General: Gran Pillo y sus trastornos......
Elegir otro panel de mensajes
Tema anterior  Tema siguiente
Respuesta  Mensaje 1 de 76 en el tema 
De: SadCHARLOTE  (Mensaje original) Enviado: 26/12/2005 19:27
 


Primer  Anterior  17 a 31 de 76  Siguiente   Último 
Respuesta  Mensaje 17 de 76 en el tema 
De: mfelix28 Enviado: 27/12/2005 14:39

¿apollar?
mais vous avez faute aussi pour apollar à à cet assassin, as tes mains pleines de sang de de cubains

Oyeme, hazte ver por le medecin des fous, ves sangre por todas las partes.

Respuesta  Mensaje 18 de 76 en el tema 
De: mfelix28 Enviado: 27/12/2005 15:59
Para que practique un poco en francés con cosas cubanas:

Cuba résiste et fait la différence
Le 28 octobre dernier, pour la treizième fois, l’assemblée générale de l’ONU a condamné le blocus américain contre Cuba (renforcé par les dispositions Torricelli et Helms-Burton) (1). Par 179 votes contre 4 : celui des États-Unis, d’Israël, des îles Marshall (un - paradis fiscal) et de la Micronésie (19 000 habitants).

À Cuba, Béatriz Roque, membre de la « société civile », s’est félicitée de la poursuite de l’embargo, « seul moyen d’obtenir une transition vers la démocratie ». Et ces gens-là s’étonnent de ne pas être portés en triomphe dans les rues de La Havane !

Le vote de l’ONU a été à peine mentionné dans la presse, qui a consacré ses titres à la libération de plusieurs opposants. Ils ont déclaré n’avoir subi aucun sévice. Le même jour, la Croix-Rouge constatait « des formes de torture » à Guantanamo Bay. Et si Raul Rivero et ses amis ont été correctement traités, ce n’est pas le cas des cinq Cubains maintenus au secret à Miami. Leur crime ? Avoir infiltré les organisations terroristes qui s’entraînent à l’arme lourde en Floride et planifient les attentats. Leurs activités n’ont rien de folklorique : en 1997, les attentats à La Havane ont tué plusieurs personnes, Cubains et touristes.

C’est dans ce climat d’attentats et d’agressivité renouvelée de la part du voisin du Nord que les opposants qui conspiraient avec la section des intérêts américains avaient été jugés et emprisonnés. Un contexte passé sous silence.

S’agissant de Cuba, la disproportion de l’information est la règle. On tient le registre des emprisonnés, on donne leur bulletin de santé, autant de nouvelles qui dissimulent l’essentiel : sous le nez de l’empire, 11 millions de personnes aux prises avec les difficultés quotidiennes choisissent de résister. Depuis 1868, quand Carlos Manuel de Cespedes proclama la liberté des esclaves, en passant par 1898, date d’une indépendance chèrement gagnée mais frustrée, et par 1959, ce qui est en jeu c’est bien la souveraineté d’un peuple, sa volonté d’être un pays et non une colonie.

« Cela se terminera dans un bain de sang », disait-on à Paris en 1990. Le camp socialiste s’effondrait et pour Cuba ce n’était que question de temps. À la fin des années quatre vingt, l’ordinaire des Cubains ne se résumait plus aux produits de la Libreta. Mais c’est à nouveau le manque de tout : de nourriture, de pétrole, de travail, de transport. La perte de 35 % du PIB, de 80 % des échanges commerciaux, et l’effondrement de l’économie.

En prime, l’isolement. Les Sandinistes avaient perdu les élections. Ce pays en guerre contre les mercenaires des États-Unis avait donné toujours plus de preuves de démocratie : économie mixte, liberté de la presse et des partis d’opposition, élections libres. Mais l’agression durait et les Nicaraguayens avaient fini par acheter la paix avec un bulletin de vote.

Tant d’observateurs, tant d’exigences démocratiques quand le pays de Sandino se rêvait souverain ! Retombé dans l’oubli aujourd’hui. Il ne s’y passe plus que des choses banales : corruption, dénutrition, analphabétisme, et les gosses s’y disputent à nouveau dans les décharges d’ordures nourriture, cartons et boîtes de conserve.

Il y a eu beaucoup de sang depuis, mais pas à Cuba. Dans une Amérique latine à nouveau changeante - voyez frétiller les compteurs de démocratie pointés sur le Venezuela, le Brésil, l’Uruguay, l’Équateur, l’Argentine... -, Cuba est toujours là.

Les millions de touristes qui vont et viennent librement dans l’île - discutent à tous les coins de rue, constatent que l’on y vit, que l’on y écrit, que l’on peint, que l’on danse et que l’on fait aussi la fête.

Certes on y vit durement, et ce n’est pas parce qu’ils savent que la vie est bien pire dans 87 pays et si près d’eux que les Cubains l’endurent. En rouspétant, en critiquant : les spécialistes du micro-trottoir et des enquêtes au café du commerce s’en donnent à coeur joie. Chaque jour sonne le glas du régime, on vous le dit. Cela dure depuis quarante-cinq ans...

Cela dure parce que trois générations défendent la révolution : celle qui a connu l’époque de Batista ; celle des enfants qui ont vu les conditions de vie s’améliorer puis empirer ; celle des petits-enfants pour qui la santé, l’éducation gratuite, les livres, le cinéma, les concerts à prix « offerts » sont une normalité.

Ces Cubains subissent la pénurie mais aussi les tâtonnements, les réajustements du gouvernement forcé de réagir au coup par coup à l’agressivité des États-Unis. Malgré les incompréhensions ou les désaccords, ils n’ont jamais remis en cause leur adhésion à la Révolution. Si résiste ce peuple rebelle, que personne n’a jamais fait taire - même pas Batista -, c’est dans le mouvement de sa propre société qu’il en trouve les raisons.

Cuba n’est pas un laboratoire où l’on expérimenterait une société parfaite dans des conditions idéales. C’est une oeuvre humaine, pleine d’erreurs certes mais qui porte loin ce vieux rêve de l’humanité : bâtir un monde où Liberté, Égalité et Fraternité ne seront plus de vains mots. Aujourd’hui plus que jamais où triomphe partout la force de l’argent.

Cuba résiste et fait constamment la différence. La restructuration de l’industrie du sucre (fermeture de 70 des 150 centrales) aurait produit chez nous un séisme social. Au lieu de licencier brutalement cent mille travailleurs - selon les très démocratiques méthodes de nos si exemplaires démocraties -, le gouvernement a pris la peine de les réunir, de les consulter, de modifier ses plans, de les reconsulter. Des milliers de réunions avec Fidel Castro et les ministres, et aujourd’hui maintien des salaires, reconversions des usines et des milliers d’ouvriers de retour à l’école.

À la fin des années quatre-vingt une partie de la jeunesse déscolarisée et désoeuvrée cherchait sa place. Dans les concerts, place de la Révolution et ailleurs, des milliers chantaient « Guillaume Tell, le temps est venu de me céder l’arbalète ». C’est avec eux que Cuba s’est dotée d’une « force de solidarité sociale » présente dans tous les quartiers. Plus de 21 000 travailleurs sociaux ont déjà été diplômés. Sept mille autres sont formés tous les ans. Cette force de solidarité s’attaque au problème des inégalités qui perdurent dans la population noire.

150 000 jeunes adultes de dix-sept à trente ans ont repris des cours de « perfectionnement intégral ». Cette seconde chance a déjà permis à 48 446 autres d’accéder à l’université. L’informatique étant enseignée dès le primaire, 13 000 professeurs ont été formés, et 3 000 animateurs culturels. Ceux qui reprennent les études grâce à ces programmes peuvent entrer dans l’un des 938 centres universitaires répartis dans 169 villes.

Bien sûr certains s’exilent. Mais on oublie ces milliers d’enseignants et de médecins qui, depuis que la Révolution existe, aident les peuples pauvres à apprendre à lire, à se soigner. Dans le bidonville de Soweto le médecin est cubain. Au Venezuela, où l’élite médicale opposée au président Chàvez laisse crever les gens, ce sont des Cubains qui soignent et vaccinent.

Ils sont 25 000 à travailler, ni pour l’argent ni pour la gloire, dans les pays les plus déshérités du monde. 450 pour la seule Haïti. Librement exilés et toujours de retour. À cause de la petite différence de leur île : « En ce moment je gagne deux ananas par mois. Alors oui parfois je rêve de partir. Mais quand je vois les enfants de ma rue je suis fier d’être cubain. » C’est ce que disait Pedro Albalate, « chirurgien internationaliste », mort à Quito en 1998 (2).

Les hôpitaux en pleine rénovation ont accueilli 17 000 enfants malades de Tchernobyl. En France nous en avons soigné quelques dizaines. Cela ne se dit pas, cela ne s’écrit pas, mais les plus pauvres le savent. C’est l’une des raisons pour lesquelles Aleida Guevara, qui fut médecin au Nicaragua, voit flotter dans les manifestations du monde entier le portrait de son père, celui d’une révolution toujours jeune (3).

C’est un pays en difficulté, toujours dénigré et aussi menacé que s’il représentait une menace mondiale, qui réussit cela. Il ne faut pas que cela se sache. Cela risquerait de déranger la pensée unique en marche qui veut nous faire croire que Cuba est une tyrannie et Fidel Castro un dictateur pour nous affaiblir.

Car c’est de nous qu’il est question (4). Défendre Cuba ce n’est pas seulement défendre la santé et l’éducation gratuite, la médecine solidaire, la culture généralisée, la recherche pionnière, tout en déplorant la rareté de l’essence, les coupures d’électricité, l’exécution d’un délinquant, l’emprisonnement de Rivero.

Défendre Cuba c’est reconnaître cette société différente qui, malgré les choses que nous n’approuvons pas, refuse de se vendre et de renoncer aux valeurs que nous avons toujours défendues.

C’est pour cette petite différence-là que 11 millions de Cubains résistent. C’est leur choix et leur droit absolu. L’ignorer, c’est refuser de reconnaître leur conscience politique, leur suprématie morale. Ils nous soutiennent bien plus que nous ne les soutenons, car ce qui se joue là-bas, ce qui s’écrit là-bas - quelle que soit la fin de l’histoire - relève de la dignité, du grand espoir et de l’honneur de l’humanité.

(1) L’île est interdite d’accès aux marchés internationaux, aux crédits, et paye de 30 % à 50 % plus cher les denrées importées, surcoût dû au fait que les navires qui accostent à Cuba sont interdits d’accès aux ports des États-Unis durant six mois. La banque suisse UBS s’est vu infliger une amende de cent millions de dollars pour avoir accepté des transferts de fonds cubains.

(2) Cuba est une île, par Danielle Bleitrach et Viktor Dedaj. Éditions Le Temps des cerises.

(3) Félicitations, Commandant, c’est une fille ! par Alessandra Riccio. Éditions Desmaret.

(4) « Cuba vive, Cuba Mide », par Santiago Alba, in Rebelion.


Respuesta  Mensaje 19 de 76 en el tema 
De: mfelix28 Enviado: 27/12/2005 17:19
Vaya, vaya, hay gente que se cree que las guerras son limpias, las provocan eso, sí, pero ellos no van, pero tiene cuajo suficiente para criticar:

Critiquen a MartÍ:
http://www.cervantesvirtual.com/servlet/SirveObras/01361642044571619199024/p0000001.htm#3
Diario de Campaña:
ArribaAbajo
(De Cabo Haitiano a Dos Ríos)

José Martí

"¿cómo no me inspira horror, la mancha de sangre que vi en el camino? ¿ni la sangre a medio secar de una cabeza que ya está enterrada con la cartera que le puso de descanso un ginete nuestro? Y al sol de la tarde emprendimos la marcha de victoria, de vuelta al campamento. "


"El consejo, enderezado de la confusión, los sentencia a muerte. Vamos al rancho nuevo, de alas bajas, sin paredes.- José Gutiérrez, el cometa afable que se lleva Paquito, toca a formación. Al silencio de las filas traen los reos; y lee Ramón Garriga la sentencia y el perdón. Habla Gómez de la necesidad de la honra en las banderas: «ese criminal ha manchado nuestra bandera». Isidro, que venía llorando, pide licencia de hablar: habla gimiendo, y sin idea, que muere sin culpa, que no le dejarán morir, que es imposible que tantos hermanos no le pidan el perdón. Tocan marcha. Nadie habla. Él gime, se retuerce en la cuerda, no quiere andar. Tocan marcha otra vez, y las filas siguen, de dos en fondo. Con el reo que implora Chacón y cuatro rifles, empujándolos. Detrás, solo, sin sus polainas, saco azul y sombrero pequeño, Gómez.- Otros atrás, pocos, y Moncada,- que nova al reo, ya en el lugar de muerte, llamando desolado, sacándose el reloj, que Chacón le arrebata, y tira en la yerba ... manda Gómez, con el rostro demudado, y empuña su revólver, a pocos pasos del reo. Lo arrodillan, al hombre espantado, que aún, en aquella rapidez, tiene tiempo, sombrero en mano, para volver la cara dos o tres veces. A dos varas de él, los rifles bajos. ¡Apunten!, dice Gómez: ¡Fuego! Y cae sobre la yerba muerto.-"

Respuesta  Mensaje 20 de 76 en el tema 
De: mfelix28 Enviado: 27/12/2005 18:39
Más:
Diario de Campaña:
ArribaAbajo
(De Cabo Haitiano a Dos Ríos)

José Martí

4.- Se va Bryson. Poco después, el consejo de guerra de Masabó. Violó y robó. Rafael preside, y Mariano acusa. Masabó sombrío, niega: rostro brutal. Su defensor invoca nuestra llegada, y pide merced. A muerte. Cuando leían la sentencia, al fondo, del gentío, un hombre pela una caña. Gómez arenga: «Este hombre no es nuestro compañero: es un vil gusano». Masabó, que no se ha sentado, alza con odio los ojos hacia él. Las fuerzas, en gran silencio, oyen y aplauden: «¡Que viva!» Y mientras ordenan la marcha, en pie queda Masabó, sin que se le caigan los ojos, ni en la caja del cuerpo se vea miedo: los pantalones, anchos y ligeros, le vuelan sin cesar, como a un viento rápido. Al fin van, la caballería, el reo, la fuerza entera, a un bajo cercano; al sol. Grave momento, el de la fuerza callada, apiñada. Suenan los tiros, y otro ms, y otro de remate. Masabó ha muerto valiente. «¿Cómo me pongo Coronel? De frente o de espalda?» «De frente». En la pelea era bravo



Nuestra América
México, 30 de enero de 1891


A los sietemesinos sólo les faltará el valor. Los que no tienen fe en su tierra son hombres de siete meses. Porque les falta el valor a ellos, se lo niegan a los demás. No les alcanza al árbol difícil el brazo canijo, el brazo de uñas pintadas y pulsera, el brazo de Madrid o de París, y dicen que no se puede alcanzar el árbol. Hay que cargar los barcos de esos insectos dañinos, que le roen el hueso a la patria que los nutre. Si son parisienses o madrileños, vayan al Prado, de faroles, o vayan a Tortoni, de sorbetes. ¡Estos hijos de carpintero, que se avergüenzan de que su padre sea carpintero! ¡Estos nacidos en América, que se avergüenzan, porque llevan delantal indio, de la madre que los crió, y reniegan, ¡bribones!, de la madre enferma, y la dejan sola en el lecho de las enfermedades! Pues, ¿quién es el hombre? ¿el que se queda con la madre, a curarle la enfermedad, o el que la pone a trabajar donde no la vean, y vive de su sustento en las tierras podridas, con el gusano de corbata, maldiciendo del seno que lo cargó, paseando el letrero de traidor en la espalda de la casaca de papel? ¡Estos hijos de nuestra América, que ha de salvarse con sus indios, y va de menos a más; estos desertores que piden fusil en los ejércitos de la América del Norte, que ahoga en sangre a sus indios, y va de más a menos! ¡Estos delicados, que son hombres y no quieren hacer el trabajo de hombres! Pues el Washington que les hizo esta tierra ¿se fue a vivir con los ingleses, a vivir con los ingleses en los años en que los veía venir contra su tierra propia? ¡Estos "increíbles" del honor, que lo arrastran por el suelo extranjero, como los increíbles de la Revolución francesa, danzando y relamiéndose, arrastraban las erres!



El tercer año del partido revolucionario cubano
Nueva York, 17 de abril de 1894



Con la mirada en lo alto, amasaremos, a sangre sana, a nuestra propia sangre, esta vida de los pueblos, hecha de la gloria de la virtud, de la rabia de los privilegios caídos, del exceso de las aspiraciones justas. La responsabilidad del fin dará asiento al pueblo cubano para recabar la libertad sin odio, y dirigir sus ímpetus con la moderación. Un error en Cuba, es un error en América, es un error en la humanidad moderna. Quien se levanta hoy con Cuba, se levanta para todos los tiempos. Ella, la santa patria, impone singular reflexión; y su servicio, en hora tan gloriosa y difícil, llena de dignidad y majestad. Este deber insigne, con fuerza de corazón nos fortalece, como perenne astro nos guía, y como luz de permanente aviso saldrá de nuestras tumbas. Con reverencia singular se ha de poner mano en problema de tanto alcance, y honor tanto. Con esa reverencia entra en su tercer año de vida, compasiva y segura, el Partido Revolucionario Cubano, convencido de que la independencia de Cuba y Puerto Rico no es sólo el medio único de asegurar el bienestar decoroso del hombre libre en el trabajo justo a los habitantes de ambas islas, sino el suceso histórico indispensable para salvar la independencia amenazada de las Antillas libres, la independencia amenazada de la América libre, y la dignidad de la república norteamericana. ¡Los flojos, respeten: los grandes, adelante! Esta es tarea de grandes.

Respuesta  Mensaje 21 de 76 en el tema 
De: mfelix28 Enviado: 27/12/2005 19:59
Sad:
Mira que gran amante de la vida es el Dr. Biscet y como felicita a otro gran amante de la vida:
( hay amores que matan se dice en España)


ESPOSA DEL DR. OSCAR ELIAS BISCET ENVIA CARTA AL EXILIO CUBANO Y VOTO MORAL AL PRESIDENTE BUSH EN SU REELECCION PRESIDENCIAL

Carta abierta a la nación Cubana en el Exilio Queridos compatriotas:

Reciban un saludo cordial y afectuoso: Vivimos un momento histórico en la búsqueda de libertad para la nación Cubana.
El pueblo cubano vive bajo un sistema opresivo por un regimen comunista plagado de intolerancias privando así a los cubanos de sus más elementales derechos, nos quieren hacer creer que la patria es un partido, nos ofrecen como opciones para solucionar los intereses más crecientes de la sociedad civil cubana el exilio forzado como única forma de obtener los derechos y libertades, un regimen que dice tener un sistema de justicia social y a la vez aplica la violencia a través de la pena de muerte, ya sea por motivos políticos u otros, un regimen que dice ser democrático y encarcela a su pueblo por disentir, por pedir elecciones libres y democráticas, por querer vivir en un sistema de derechos y por exigir la excarcelación de sus prisioneros políticos y de conciencia, un regimen que enseña a leer y escribir y después encarcela por estos mismos motivos, un regimen que dice que los cubanos tienen libertad de expresión, asociación y reunión, sin embargo califica de mercenarios a los que lo ejercen, un regimen que determina quien puede o no entrar y salir de su pais. El amor es el calificativo más hermoso que nace en los corazones sedientos de paz, justicia y libertad y ello también lo matan cuando reprimen la espiritualidad humana, un regimen que teme que el pueblo conozca sus derechos, prueba de ello, nunca se ha gastado un centavo en publicar la Declaración Universal de Derechos Humanos, las familias cubanas continúan divididas por una ideología, hay madres y padres cubanos que por más de 3 décadas no han visto mas a sus hijos, unos por prohibición, otros porque han muerto en la violencia que predomina en nuestro entorno cotidiano.

Compatriotas, en la búsqueda de la libertad de nuestra patria, jamás hemos aplicado ningún método violento, solo la eticidad de nuestras ideas, basadas en las filosofias de grandes maestros y pensadores como Jesucristo, José de la Luz y Caballero, Gandhi, Martin Luther King entre otros, sin embargo las respuestas del régimen han sido la represión y el encarcelamiento, no las batallas de ideas como predican a la opinión pública.

Ustedes y nosotros somos el ejemplo viviente de la represión, el temor y las torturas, no porque queramos, sino porque la historia lo lee, el desaliento, las miserias, la pérdida de valores éticos y morales es lo que predomina en el seno de la sociedad, resultado de un sistema cerrado a la diversidad, los cubanos conocemos muy bien ya la parábola de la cizaña y el trigo del evangelio San Mateo del Nuevo Testamento, aceptamos que el problema de Cuba es a resolver entre cubanos, pero también sabemos que para ello necesitamos el apoyo moral de la comunidad internacional.

EE.UU. ama al pueblo de Cuba, y el pueblo cubano ama a los EE.UU.
El Presidente George W Bush ha sido el único presidente de los EE.UU. que ha dado un paso serio presentado a la opinión pública un programa pacifico de apoyo a la transición en Cuba, lamentablemente la guerra en Irak ha influido negativamente en muchas personas, nosotros nos oponemos a las guerras como solución a los problemas, pero recuerden que los terroristas en 15 minutos cegaron la vida a mas de 3 mil ciudadanos inocentes en las torres gemelas el 11 de septiembre del 2001, ellos empezaron la guerra en contra de la libertad.

Bush es un hombre de bien, y siempre ha ayudado a los cubanos, prueba de ello son las 23,000 visas que de manera especial, les otorgó en apenas 10 meses de año fiscal, la venta directa de medicinas y alimentos para el pueblo, las ayudas humanitarias por el huracán, la no-intervención militar en Cuba, cosa que el pueblo cubano desconoce, entre otras hablan por sí sola.

Compatriotas, en Dios confiamos, ilumine a los cubanos en la búsqueda de la libertad de su pueblo, en Dios confiamos muchos de mis conciudadanos, presos políticos y de conciencia, y muy especialmente la Fundación Lawton de Derechos Humanos quien preside mi esposo Dr. Oscar Elías Biscet, preso, incomunicado, desterrado en su propio país, en nombre de todos ellos y en mi nombre propio, llegue de antemano nuestro voto moral y nuestras oraciones a George W. Bush, para su reelección como Presidente de los EE.UU. en las elecciones venideras del 2 de noviembre del 2004.

Muchas gracias.
Lic. Elsa Morejon Hernandez,
Activista de Derechos humanos en Cuba y esposa del Dr. Oscar Elías Biscet González, Presidente de la Fundación Lawton de Derechos Humanos y Prisionero de Conciencia.

Dado en Ciudad de la Habana, octubre 7, 2004

PD. Esta carta nos ha sido enviada para su divulgacion por la Fundacion Lawton de Derechos Humanos, la cual ha sido dictada de su versión original para su mejor lectura en texto por Net for Cuba International. Dicha transcripción es acompañada por su versión original en forma de attachment. Agradecemos de antemano su divulgación por todos los medios.

NetforCuba International
www.netforcuba.org




Respuesta  Mensaje 22 de 76 en el tema 
De: mfelix28 Enviado: 27/12/2005 21:19
Pero el gran amante de la libertad, el pacifista Bush, tambien se cartea con su colega:

TRADUCCION DE LA CARTA DEL PRESIDENTE GEORGE W. BUSH AL PRESO POLITICO CUBANO DR. OSCAR ELIAS BISCET

Marzo 26, 2003

Dr. Oscar Elias Biscet
Prisión Combinado del Este
La Habana, Cuba

Querido Dr. Biscet:

Felicidades por el reconocimiento que ha recibido del International Republican Institute con el premio otorgado por ellos - "Democracy's People Award".

Su esfuerzo y su ejemplo son la encarnación de los valores democráticos, incluyendo la auto-determinación, libre expresión y libertad. Aplaudo su valiente y digna lucha por los derechos humanos y por la libertad para todos los cubanos.

Laura y yo continuamos orando por su salud y por la de muchos presos políticos injustamente detenidos en su país.

Afectuosamente,

George W. Bush (firmado)

Respuesta  Mensaje 23 de 76 en el tema 
De: mfelix28 Enviado: 27/12/2005 22:39
Menos mal que hay gente en el exilio que comprende al Doctor, vean:

Aquí el S r. Rodríguez de Aragón, pide el Nobel para el Dr.

PREMIO "NOBEL" PARA EL DR. OSCAR ELIAS BISCET
Por Roberto Rodríguez de Aragón
Miami, en exilio, Julio 26 del 2001

Acudimos recientemente a las oficinas del Congresista cubano-americano, Lincoln Díaz Balart, quién conjuntamente con Ileana Ros-Lethinen, también Congresista cubana-americana, habían convocado a la prensa y a organizaciones patrióticas del destierro, para dar a conocer el inicio de una campaña muy meritoria.

Los fines de ella son proponer para el premio "Novel de la Paz", a un cubano de enormes méritos para lograr tan honroso galardón. Se trata del Dr. Oscar Ellas Biscet, quién está cumpliendo condena en las ergástulas Castro-comunistas en la otrora feliz Isla de Cuba. El Dr. Oscar Elías Biscet es un joven médico que tuvo el civismo y valor personal, de denunciar la atroz violación de los Derechos Humanos, la gran cantidad de abortos que se estaban practicando en toda la Isla y en especial en el que presta sus servicios médicos en la ciudad de la Habana. Esta denuncia le costó ser expulsado de su cargo y la anulación de su práctica médica. Con ello se inició una persecución constante sobre la heroica figura del Dr. Oscar Elías Biscet y su valiente y abnegada esposa. Desde ese momento, el médico-patriota comenzó a luchar por los derechos humanos en nuestra ensangrentada Patria.

"Contra viento y marea" enfrentó a la Seguridad del Estado y a las turbas adiestradas integradas por la plebe que gobierna en Cuba. No se hizo esperar la creación de la Fundación Sacaroff en honor del valiente líder de los derechos humanos. Organizó reuniones con compatriotas que compartían sus mismos ideales. La mayoría de ellas fueron disueltas por la Seguridad del Estado y muchos de sus participantes, detenidos por horas, días y meses. La figura del Dr. Oscar Elías Biscet fue tomando altura y prestigio dentro de la oposición en Cuba y en el destierro. Su valor personal y sus pronunciamientos en defensa de los Derechos Humanos iban calando los sentimientos patrios.

En el destierro la Sra. Lauda Carro, asumió con éxito su representación y rápidamente la opinión mundial, supo que en nuestra Patria, surgía una personalidad honesta que estaba enfrentando al despótico sistema marxista leninista, denunciando sus abusos y crímenes. Había surgido un líder tan necesario en esta lucha por la libertad y democratización de Cuba. La Junta Patriótica Cubana, dedicó en la revista "Presencia", nuestro órgano de opinión, la portada, publicando su fotografía, al Dr. Oscar Elías Biscet. En su última actividad patriótica, la que estaba efectuando pacíficamente, fue detenido bajo el burdo pretexto, de que tenia puesta en el acto que celebraban, la bandera cubana en forma invertida. ¿y que mejor símbolo para expresar como está la Patria de los cubanos? Llevado a la Seguridad del Estado fue acusado por uno de esos inverosímiles cargos que hace la tiranía para condenar a los que no son adeptos al sistema Castro-comunista. Meses mas tarde fue presentado a los "tribunales" amaestrados y condenados a no se cuantos años de prisión. No importa la condena, porque la tiranía, a corta o a larga los años de prisión según les convenga.

Solamente hubimos de hablar por teléfono, una vez con el patriota Dr. Oscar Elías Biscet. Su firmeza en la conversación, los conocimientos que teníamos de su vida, coincidían con la expresión de su cara y su mirada penetrante en la fotografía de la portada de "Presencia". Nos recordó por sus principios y actuación, a otro grande de la Patria: al "Titán de Bronce", el inmortal General Antonio Maceo y Grajales.

Mujeres y hombres, jóvenes y viejos, amantes de la justicia y la democracia que apoyan el cumplimiento de los Derechos Humanos, emitan sus votos para que sea nominado y electo premio "Nóbel de la Paz" el          Dr. Oscar Elías Biscet, dirigiéndose a esta dirección:

Francis Sejerested


Un poco despues, el mismo Sr. Rodríguez de Aragón,  correligionario del Dr., hacía otra petición, esta vez  para Cuba

¡AHORA O NUNCA!
por Roberto Rodríguez de Aragón
Miami, en exilio, Septiembre 14 del 2001.

¡Que pena! Que haya tenido que suceder algo tan monstruoso como los ataques terroristas perpetuados en la ciudad de New York y Washington D.C., el pasado Martes 11 de Septiembre del dos mil uno para que tengan que abrir los ojos gobernantes y ciudadanos de esta gran nación. La fecha quedará marcada como la mas negra para U.S.A. y del mundo civilizado y democrático.

Por años los cubanos desterrados hemos venido denunciando la peligrosidad de la tiranía castro-comunista que había asaltado a nuestra patria llenándola de lágrimas y sangre desde el ataque certero al Cuartel "Moncada", el 26 de Julio de 1953 aprovechándose de los famosos carnavales de la ciudad de Santiago de Cuba. Desde ese día inició su carrera ascendente a lo que es hoy: inspirador y líder de los dirigentes terroristas del mundo entero.

Los años siguientes son historia y hay que revisarla para saber en efecto cuando y donde comenzó el terrorismo internacional que esté azotando al mundo entero, desde hace cuarenta y dos años, ocho meses y los días que corren de este mes.

Durante su estadía en la "Sierra Maestra", fueron secuestrados dos aviones de pasajeros llevado hacia "el Bunker" que había establecido en las montañas orientales y mas de tres aviones pequeños. Secuestró a un gran número de marinos norteamericanos establecidos en la base naval de Guantánamo, secuestró al famoso corredor de automóviles argentino Juan Manuel Fangio, y aunque directamente no tuvo que ver nada con el asalto al palacio presidencial el 13 de Marzo de 1997, si fue inspirado por los acontecimientos que sacudían a Cuba por culpa de este "bribón con barba".

Desde entonces nuestra Patria fue base de entrenamiento y santuario para todos los terroristas y guerrilleros de América y del resto del Mundo, pero el homosexualismo político, la miopía, indiferencia o complicidad de muchos gobernantes permitieron que "el monstruo de la Sierra Maestra" siguiera creciendo.

Comenzaron los secuestros de aviones en cantidades alarmantes, las bombas devastaron con gran secuela de víctimas propiedades en la mayoría de las naciones democráticas, atentados personales, secuestros, chantaje y asalto a entidades bancarias.

En Ingeniero Cereijo con datos irrefutables ha denunciado a Cuba como fabricador de material bacteriológico con fines bélicos. No le han puesto las autoridades la atención urgente. Espías de Castro en Miami han sido condenados por sus actividades. Dos aviones de matrícula norteamericana en misión humanitaria de "Hermanos al Rescate" fueron derribadas, asesinando a tres ciudadanos americanos y un cubano residente de este país, en espacio aéreo internacional por aviones Castro-comunistas y no pasó nada. Solo aprobar una ley que no se aplica. Aviones de pasajeros han sido víctimas de sabotaje explotando en el aire con pérdidas de muchas vidas inocentes y todavía están buscando a los culpables.

Si seguimos recordando actos terroristas inspirados por el castrato, necesitaríamos todo el periódico. El propósito es traer a colación que en una forma u otra el "Chacal del Caribe" tiene su mano larga ensangrentada metida en todos los "potajes" que se han producido en las últimas cuatro décadas.

Para señalar los dos últimos hechos que lo vinculan directamente con el "martes negro", recordemos que hace muy pocos días, tres terroristas fueron detenidos en Colombia eran entrenadores de los miembros de la FARC o del FLN que habían vivido por algunos años en Cuba con la misma misión.

De esta asignatura del terrorismo confieso no conocer mucho o nada, pero el olfato me dice que un ataque tan bien planificado, no se prepara ni en días, ni meses, tampoco por un grupo sea religioso o político y que cuesta muchísimo dinero, se necesitan bases de entrenamiento y para los organizadores del plan, un santuario a donde escapar antes o durante que se produzca el crimen.

Ya el "Chacal del Caribe" en su forma habitual imitando a "la gata de María Ramos que tira la piedra y esconde la mano", comenzó a lavárselas y ofreciendo "su generosa ayuda" al gobierno y pueblo de USA. Estrategia muy gastada. ¿Que sangre estas ofreciendo?, ¿la que le saca a los presos políticos y a los que mueren frente al paredón? ¿Y que médicos y trabajadores para la labor de rescate? ¿A los que alquila para lo que sea a otros países? Y más acusadora todavía es la declaración producida en su reunión con sus socios terroristas en territorio árabe: "Tenemos que hundir a los Estados Unidos".

No Fidel, te llegó tu momento, si investigan "hasta el hueso" lo relacionado con el terrorismo y quieren saber los culpables directos o indirectos, "estas cogido".

Lo sucedido el "martes negro" es muy triste, pero servirá para combatir el terrorismo hasta liquidarlo. ¡AHORA O NUNCA!                                                                            [Home]


¡Que rápido se ve por donde van las cosas!
Sólo en un par de meses se quitan la careta los "pacifistas".

Y lo peor ¿ saben que es?
Que este Dr. solo les vale mientras esté preso y engorde a indeseables como el Sr. Rodríguez de Aragón, una vez liberado, le volverán a enviar dinero para que diga alguna calumnia y volverá a estar encarcelado y el Sr. indeseable volverá a escribir y cobrar por su artículos y hasta le organizará algún acto beneficio de los que sabe bien quien los organiza y cobra pero nunca el "homenajeado" percibe un dolar.
Luego le sueltan y ya no les valer, le insultan, como a Rivero.
¡Pobres di$idente$!
Tienen aprecio mientas estén presos.

Respuesta  Mensaje 24 de 76 en el tema 
De: Gran Papiyo Enviado: 27/12/2005 22:39
y estos extranjeros se pasan metiendose en los asuntos de los Cubanos.
 
Y qué te molesta Tango ?????? 
Acaso vos no comés gracias a los argentinos ?????
Si un cubano tiene derecho a vivir y a opinar en la Argentina. Un argentino no tiene derecho a opinar sobre Cuba ?????
 
Está claro que lo que a vos te molesta no es la nacionalidad del que opine, sino el contenido de su opinión
 
Cuando nos vamos a tomar un cafecito en algún bar de Buenos Aires ?????
Mañana voy a andar por el Barrio chino de Belgrano. Está bastante cerca de tu casa. Cualquier cosa, avisame.
 
                                                          SALUDOS REVOLUCIONARIOS
                                                                           (Gran Papiyo)

Respuesta  Mensaje 25 de 76 en el tema 
De: SadCHARLOTE Enviado: 28/12/2005 01:19

Je ne l'ai pas dit j'ai étudié français à l'Université, lui ai dit mon père est descendant français troisième génération, suis quatrième génération née au Cuba, ai écrit français quand à j'ai répondu à son ami qu'il m'a écrit français et avec des manques d'orthographes pires les mien, il a l'option de ne pas me lire français.

Maintenant lui réponde à son message, essaye de me contenir !!! parce que son attitude n'est pas digne !!

.......Alina la hija de Fidel Castro denuncia en su libro "La integridad moral de los combatientes del Ministerio del Interior" . .El viejo asesino esta consiente que sus sicarios son ladrones , violadores , delincuentes de las mas bajas calañas amparados , autorizados y premiados por el delincuente mayor . Aquí les pongo un fragmento del libro de Alina y vemos como el Viejo Asesino trata de persuadir a su hija que no se case con un alto oficial del MININT , mismo oficial que goza de toda su confianza y aprobación para que viole mujeres indefensas en Villa Marista.

"Y no sólo es que haya robado.¡Ese hombre es un violador! -¡Como! -Sí. Se sabe que cuando era interrogador en Villa Marista violó algunas detenidas. (Fidel Castro)

-Me apena muchísimo que este sistema haya escogido como oficial de contra inteligencia a un ladrón convicto y sospechoso de ser un violador"(Alina)

Al tratar la figura del violador dentro de las Fuerzas armadas de la revolución, hace recordar las paginas que dedicara José Martí, en su diario de campaña, poco antes de morir, al caso de un compañero de Armas que había cometido los mismos crimenes de los que "acusa" Castro a su oficial y futuro yerno. Entre los mambises no había clemencia para tales actos, ni siquiera con los que fuesen valientes en el combate. Asi nos lo cuenta Martí en su peculiar estilo: .

"Poco después el consejo de guerra de Masabó. Violó y robó. Rafael preside Y Mariano acusa. Masabó sombrío, niega: rostro brutal. Su defensor invoca nuestra llegada, y pide mereced. A muerte. Cuando leían la sentencia, al fondo del gentío un hombre pela una caña. Gómez arenga: "Este hombre no es nuestro compañero: es un vil gusano". Masabó, que no se ha sentado, alza con odio los ojos hacia él. Las fuerzas, en gran silencio, oyen y aplauden: "¡Que viva!" Y mientras ordenan la marcha en pié queda Masabó, sin que se le caigan los ojos, ni en la caja del cuerpo se vea miedo: los pantalones anchos y ligeros, le vuelan sin cesar, como a un viento rápido. Al fin van, la caballería, el reo, la fuerza entera, a un bajo cercano; al sol. Grave momento, el de la fuerza callada, apiñada. Suenan los tiros, y otro más, y otro como remate. Masabó ha muerto valiente. "¿Cómo me pongo coronel? ¿De frente o de espalda?" "De frente." En la pelea era bravo. (7 pag. 353-354).

Un siglo y dos años después de estas paginas se escribe el libro de Alina. En mucho ha cambiado Cuba, en otras cosas no ha cambiado nada. Tambien habran hombres condenados por "gusanos" aunque no violen ni maten.

Usted puso este pasaje del diario de José Martí , para comparar ...eso lo imagino , no? , Masabó fue juzgado por un consejo de guerra y , donde había acusados y acusador , pruebas de sus delitos fue hallado culpable y condenado por los crímenes de robo y violación y fue pasado por las armas , el campesino Eutimo Guerra , fue asesinado por la mano del argentino Ernesto Che Guevara , sin que un consejo de guerra hiciera un juicio y comprobara que este campesino era un traidor , el Asesino Ernesto Guevara asumió que el Campesino pudiera estar pasando información y lo asesinó bajo su lema _Ante La Duda Matalo_ sin que le temblara la mano le metió un balazo en la cien , sin tener la certeza si era culpable o inocente , y después como el peor y mas miserables de los asesinos lo escribe en su diario dando detalles hasta en que parte de la cabeza le metió el balazo , después asesinó a otro campesino y es tan cínico y tan falta de los mas mínimos valores humanos que en su diario se cuestiona si merecía o no merecía la muerte, solo un hombre muy miserable puede quitarle la vida la vida a otro , solo un hombre de muy malas entrañas puede empuñar un arma y apuntar a la cabeza de otro sin darle el derecho de un Consejo de Guerra o un juicio , el Che no sólo fue un asesino , fue un cruel y miserable hombre con todos los bajos instintos!!!un chacal saciando sus ansias de sangre como escribió en una carta a su esposa "Estoy en la manigua cubana, vivo y sediento de sangre" , !cínico!!! matador de cubanos !!! matador de campesinos que sus delitos fueron no tener la resistencia para los embates de una guerrilla!!!  !cínicos! que levantan su voz a favor de los pobres y no les tiembla la mano para asesinarlos!!!  !cínicos!!! matadores no de ricos si no de pobres campesinos!!! esos que son su bandera y que dicen que su causa es para ellos!!  !cínico!! al pretender comparar el Ejercito Libertador con este delincuente matón sin escrúpulo y sin entrañas!!!

A los sietemesinos sólo les faltará el valor. Los que no tienen fe en su tierra son hombres de siete meses. Porque les falta el valor a ellos, se lo niegan a los demás. No les alcanza al árbol difícil el brazo canijo, el brazo de uñas pintadas y pulsera, el brazo de Madrid o de París, y dicen que no se puede alcanzar el árbol. Hay que cargar los barcos de esos insectos dañinos, que le roen el hueso a la patria que los nutre. Si son parisienses o madrileños, vayan al Prado, de faroles, o vayan a Tortoni, de sorbetes. ¡Estos hijos de carpintero, que se avergüenzan de que su padre sea carpintero! ¡Estos nacidos en América, que se avergüenzan, porque llevan delantal indio, de la madre que los crió, y reniegan, ¡bribones!, de la madre enferma, y la dejan sola en el lecho de las enfermedades! Pues, ¿quién es el hombre? ¿el que se queda con la madre, a curarle la enfermedad, o el que la pone a trabajar donde no la vean, y vive de su sustento en las tierras podridas, con el gusano de corbata, maldiciendo del seno que lo cargó, paseando el letrero de traidor en la espalda de la casaca de papel? ¡Estos hijos de nuestra América, que ha de salvarse con sus indios, y va de menos a más; estos desertores que piden fusil en los ejércitos de la América del Norte, que ahoga en sangre a sus indios, y va de más a menos! ¡Estos delicados, que son hombres y no quieren hacer el trabajo de hombres! Pues el Washington que les hizo esta tierra ¿se fue a vivir con los ingleses, a vivir con los ingleses en los años en que los veía venir contra su tierra propia? ¡Estos "increíbles" del honor, que lo arrastran por el suelo extranjero, como los increíbles de la Revolución francesa, danzando y relamiéndose, arrastraban las erres!

Cada vez que leo a José Martí su sabiduría me enorgullece ,usted forma parte de esos "poquitos" muy poquitos hijos de cubanos que le babean a lengüetadas la bota del tirano , intentando acallar las voces de los demás cubanos , que denunciamos cada crimen cometido por el viejo asesino , usted es ese roedor que menciona nuestro Apóstol que nos quiere negar ese derecho de condenar los crímenes cometidos por el viejo asesino y que sin ningún pudor defiende a ese tirano que tiraniza , encarcela , fusila y fustiga a sus hermanos.

Usted forma parte de esos hijos que se avergüenzan de sus padres como explica José Martí , usted peor , por que no sólo se avergüenza también los humilla y los denigra uniendo su voz a la escoria de violadores , asesinos y ladrones que gobierna nuestra Isla , usted une su voz al tirano para llamar a su madre y a su padre "Gusanos" y "Vende Patria , usted forma parte de esos que nombra nuestra Apóstol ¡Estos hijos de carpintero, que se avergüenzan de que su padre sea carpintero! traicionándolos y tomando una postura servil de defender a un tirano que obligó a su Madre y a su Padre a escapar de su tierra , que les robó , los difamó y los pisoteó ,usted se pasea por las calles Españolas "con el gusano de corbata, maldiciendo del seno que lo cargó, paseando el letrero de traidor en la espalda de la casaca de papel" , usted justifica su estancia en un país extranjero Comparándose con el niño Elián González , poniéndose en una posición !Vil! , por que tanto la madre de Elián como su madre dieron lo mejor de ellas para que usted y el pequeño Elián pudieran vivir mejor , al usted compararse con el pequeño Elián , esta pisoteando el cadáver de Elizabeth Brotons la madre de Elián Gonzalez que murió en el mar con el único deseo de escapar de aquella cruenta dictadura y darle a su hijo un futuro mejor ,y también pisotea el noble deseo de su madre de ofrecerle a usted una vida mejor ....... Nuestro Apóstol lo llamó por el nombre que se merece al renegar de las buenas intenciones de su madre "la madre que los crió, y reniegan, ¡bribones!, eso es usted un Bribón!!!


Respuesta  Mensaje 26 de 76 en el tema 
De: mfelix28 Enviado: 28/12/2005 02:39
¡No me diga que cuando responde a mis mensajes trata de contenerse!
Pues cualquiera lo diría, debe ser que los entiendo tan mal como su francés.
Vamos a ver, ignorante, cuando Masabó fue juzgado, no existía en la Cuba Libre ( que era bien escasa) ningún tribunal ni leyes ni constitución, estos fueron muy posteriores, así que vaya a contarle cuentos a sus vecinitos yanquis, en francés si quiere, pero no aquí.
Ya le digo que no cuelan.
¡Hay que ver!
Ahora Alina Fernández es la Notaria Mayor de Cuba, lo que diga esa tipa, hay que creerlo a pie juntillas, ¿ no?

Por otro lado ya le tengo dicho que cuando cuente mentiras mire antes lo que los otros gusanos dicen, ya que se la "coge" en seguidita, porque hasta para mentir hay que ser un poco inteligente y no caer en contradicciones.
Mire, sobre Eutimio, dicen en Guaracabuya ( más gusanos que Ud.):
"Eutimio Guerra, en una ocasion que había bajado al poblado de Mafo la guardia septembrista lo tomaba preso, interrogándolo, amedrentándolo, amenazándolo, y entregándole una pistola para que regrese a la guerrilla y mate a Fidel Castro.

Eutimio Guerra no tiene valor para ejecutar la órden, su comportamiento nervioso lo delata, es enjuiciado por los rebeldes y condenado a muerte. A la hora de la ejecución, los guerrilleros no se deciden a pasarlo por las armas, y es cuando el Che Guevara se adelanta, extrae su pistola calibre 32 disparándole un tiro en la sien. "



Así que no me venga con cuentos sobre la inocencia y el no juicio, si lo que se inventa se lo cree aproveceha cuando vaya al siquiatra por lo de la pederastia y cuentele que tiene un problema con la realidad y la imaginación.
Aproveche la misma sesión, que en yanquilandia esas cosas cuestan dinero.
Pero no nos aburra más.
Por hoy ya vale.

Respuesta  Mensaje 27 de 76 en el tema 
De: Elpidio3747 Enviado: 28/12/2005 03:59
y despues de esa heroica ejecucion es cuando el che asesino le escribe a su mujer y dice .....acabo de llegar a cuba y estoy sediento de sangre..

Respuesta  Mensaje 28 de 76 en el tema 
De: SadCHARLOTE Enviado: 28/12/2005 05:19
"Poco después el consejo de guerra de Masabó............
 
Consejo de Guerra , sabe que es eso?
 
 
 

Respuesta  Mensaje 29 de 76 en el tema 
De: SadCHARLOTE Enviado: 28/12/2005 06:39
pederastia
 
Usted es mucho mas denigrante de lo que imaginé , sucio y puerco de mente , tratar de involucrar a una persona que no conoce con un acto tan vil como es la pedofilia , ahora no solo le diré lo que le dijo José Martí , ahora le diré que me provoco asco!!!!
Puerco!!!

Respuesta  Mensaje 30 de 76 en el tema 
De: matilda Enviado: 28/12/2005 07:59
Bueno Carlota siga el consejo de Félix,a lo mejor está a tiempo,y aproveche vaya con su papi Maceo que ya se sabe dos por uno es mas barato.
Si ya sé que yo suelo escribir interesante,pero deje de plagiarme,a ver si pone alguna opinión propia.
En cuanto al Che,no solo digo sino que sostengo que ningún acólito de los marines como usted, podrá nunca ni siquiera lustrar su estatua, primero estudie medicina,vaya a curar leprosos,supere sus propios límites físicos, póngale el pecho a lo que venga y asuma la responsabilidad de aplicar justicia sin temblor en el pulso y por ahi,por ahi se gana el lugarcito de mencionar su nombre.
Pero para que no se sienta ofendida voy a exponer una pequeña muestra de lo que piensa usted............
De: Alias de MSNSadCHARLOTE Enviado: 20/12/2005 21:03
Quienes Alaban a un tirano?
 
las Hay putas
Maricones
Mariconas
Tortilleras
Transexuales

Indeseables.
La chusma.
Los drogadictos.
Ya vé es pequeñita la muestra ,pero a qué más....no?
 
Todo lo que usted escribe es eso nomás y ni siquiera tiene el coraje de decirnos lo que EN VERDAD PIENSA........................amerita una preguntita.
Si tanto le gusta yanquilandia porqué no se quedan allí?
Pero no se preocupe se la respondo yo nomás,sin el menor esfuerzo.
Ustedes están allí gracias a hombres como el Che, si en Cuba hubiera pervivido un régimen como el de Batista,serían una sarta de ignorantes más, ignotos en la Isla, u Oligarcas venidos a menos, esto último lo descarto porque conozco el paño desde adentro y usted tiene menos de oligarca que yo de odalisca.
Como en yanquilandia no son NADIE ni NADA más que una escoba para barrer lo que a los yanquis les interesa, los que van a las guerras que son de ellos,pero que pagan a otros para que sirvan de carne de cañón, los que defienden la ocupación de su propia tierra,los parias.Pretenden tener una Isla a la medida de sus ambiciones,pequeñas ambiciones,como pequeñas son sus ínfulas y su capacidad para transformar nada.
Pequeños burgueses con pretensiones, que declaman a los cuatro vientos lo que (si pudieran) una vez logrado los objetivos borrarían con el codo, no les ofende nada más que su interés reprimido.
Donde quedaría"la chusma",los gays,los "indeseables""la gentusa"? relegados adonde?
En qué rincón guardaría usted a Martí?
Hipócritas los que se ocultan tras palabras insignes,pero desnudan su oscuridad mental en cada descuido.
matilda
 
 

Respuesta  Mensaje 31 de 76 en el tema 
De: SadCHARLOTE Enviado: 28/12/2005 09:19
Plagiarla ? no joda!!!! usted es participe de toda la sangre que se ha derramado en Cuba!!!! y Póngase  su nick original .....................siga con  el legado que le dejo el Che   ...a ver Cuéntenos a cuantos campesino y pobres les ha pegado  un balazo en la cabeza por no pensar como usted!!!!Hipocrita Espero que la cena le de una indigestión!!!
Miserable!!!!
 
¨…Dos peligros tiene la idea socialista, como tantas otras:-el de las lecturas extranjerizas, confusas e incompletas, - y el de la soberbia y rabia disimulada de los ambiciosos, que para ir levantándose en el mundo empiezan por fingirse, para tener hombros en que alzarse, frenéticos defensores de los desamparados
José Martí


Primer  Anterior  17 a 31 de 76  Siguiente   Último 
Tema anterior  Tema siguiente
 
©2025 - Gabitos - Todos los derechos reservados